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 What is life without risk — Sirius.

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MessageSujet: What is life without risk — Sirius.   What is life without risk — Sirius. Empty01.04.20 20:42

Sirius O. Black


Tes petites infos

Bonjour à tous ! Je m'appelle Sirius Orion Black. Mon anniversaire, c'est le 3 Novembre 1960, j'ai 16 ans, et je fais ma septième et dernière rentrée à Poudlard cette année ! Je viens d'une famille de sorciers de sang purs et je le vis très bien ( ou pas ) ! D'ailleurs moi, côté coeur, je suis plutôt hétérosexuel et en ce moment, je suis célibataire. C'est un petit secret, ça reste entre nous, d'accord, mais j'ai vraiment très peur de voir mon petit frère souffrir. Oh ! J'ai failli oublier ! Mon patronus, c'est un magnifique et énorme chien. Vous pensez me reconnaitre ? C'est normal, je ressemble beaucoup à Avan Jogia. Je crois que je vous tout dit. A bientôt !


Ton petit caractère.

Dis moi, Sirius, est-ce que tu l’as toujours porté ce joli masque sur ton visage, ou est-ce que tu as fini par le forger à force des épreuves que tu as vécu ? Ah ! Elles sont nombreuses les rumeurs à ton sujet. Tu serais un grand coureur de jupon, un farceur, parfois même un bourreau. Combien de fois a-t-on entendu dans les couloirs que Sirius Black avait mit une potion dans le café d’un de ses professeurs pour lui rendre la langue bleue ? Combien de fois a-t-on entendu parler des nombreuses conquêtes de Sirius Black ? Combien de fois a-t-on entendu dire que Sirius Black s’était encore moqué d’un autre élève ? Et ce sourire sur tes lèvres, est-il sincère ou est-il là seulement par habitude ? Dis moi, Sirius, as-tu conscience de ce masque que tu portes au quotidien ?

Où est ce petit garçon courageux et remplit d’ambition qui rêvait de devenir un Auror ? As-tu oublié tes rêves d’enfant ? Toi qui es pourtant si intelligent, dis moi, pourquoi continues-tu as faire l’idiot en classe ? Toi qui as l’éducation du à ton rang, pourquoi t’évertues tu à feindre l’insolence ? Toi qui es pourtant si juste, et si loyal, dis moi, comment peux-tu laisser faire quand tu vois tes amis commettre des injustices ?


Derrière ton petit écran.

Continuo ipsius defensio isti patris de pudore honestissimis in vos omnem suspicioni hunc etiam M brevis orationem Nam nisi honestissimis M aetatis M aut pudore dicam etiam Qui omnem pudore existimatis togam honestissimis est brevis suspicioni aut continuo vos orationem existimatis nisi orationem huic omnem artibus Crassi quoad primum orationem aut cum defensio dicam Caeli pudore dicam Crassi Caeli hunc vos M aetas artibus dare pudore isti huic cum de me M deditšnihil suspicioni dicam virilem dicam deinde locum brevis vidit Nam cum aut togam M deditšnihil est flore pudore me aut continuo M virilem defensio virilem aut etiam hunc.






Dernière édition par Sirius O. Black le 03.04.20 21:44, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: What is life without risk — Sirius.   What is life without risk — Sirius. Empty01.04.20 20:43




Ta petite histoire

Petit garçon émerveillé, tu observais la neige tomber par la fenêtre, assit sur les genoux de ton père quand ta mère arriva avec une étrange petite chose emmaillotée dans une magnifique couverture bordée. Curieux, tu tendis les bras à ta mère pour qu’elle te prenne dans les bras, mais à la place, ignorant ton appel, elle déposa la petite chose dans un berceau. Tout petit encore, tu venais à peine fêter ton premier anniversaire, comment pouvait-on t’en vouloir pour ton innocence et sa curiosité ? Lentement, ton père se leva, te portant dans ses bras, et il se rapprocha du berceau. Avec beaucoup de prudence, tu te penchas légèrement des bras rassurant de ton paternel pour venir observer cette petite chose qui bougeait à peine, une petite touffe au sommet de son crâne. Les yeux grands ouverts devant ce spectacle, tu avanças doucement ta petite main pour toucher cette petite chose encore endormie. La voix de ta mère vint alors à tes oreilles pour te présenter ton petit frère, Regulus. Émerveillé par cette petite chose qui était en réalité ton petit frère, tu souris, oubliant la neige dehors. Ainsi naquit ton amour pour la seule et unique personne qui t’importe.

Quelques années sont passées depuis que tu as découvert cette petite merveille endormi dans son berceau, et ton frère et toi vous avez beaucoup grandit. Tu fêteras bientôt ton cinquième anniversaire, et ton coeur est toujours remplit de sentiment aussi pur que la première fois que tu as ouvert les yeux dans ce monde. Hélas, c’est aussi à cet âge que tu as découvert à quel point porter le nom Black pouvait être un fardeau. Pourtant, ta famille, tu l’aimes. Ou du moins, ton petit frère. Cette petite bouille, tu peux pas t’en passer, même s’il est parfois agaçant et collant. Pour rien au monde tu voudrais t’éloigner de ton frère, mais c’est peut-être aussi à ce moment que tu as commencé à le faire malgré toi. En effet, depuis que tu sais parler, on te répète sans cesse à quel point ta famille est importante dans le monde des sorciers et à quel point vous êtes supérieurs aux autres être vivants, plus particulièrement les moldus. Pourtant, quand tu regardes dehors par la fenêtre, ce que tu vois, c’est que des êtres humains. Ils ne sont pas différent de toi, alors pourquoi devrais-tu être si supérieur à eux ?  

Tu as maintenant sept ans, et enfin, tu as osé mettre des mots sur ces pensées qui grandissent dans ton esprit depuis maintenant un peu plus de deux ans. Faisant face à ta mère, tu lui as demandé pourquoi les moldus vous son inférieur, et quand elle t’a parlé de la pureté du sang et que tu lui as répondu que si tout le monde a du sang dans les veines, c’est qu’on est tous pareil, ce fut la première fois de ta vie que ta mère leva la main sur ton petit visage pour te gifler. Les yeux remplis de larmes, tu t’es retenu de pleurer. Regulus n’était pas très loin, et la dernière chose que tu voulais, c’était qu’il voit les larmes sur tes joues. Certes, tu n’avais que sept à l’époque, mais déjà tu voulais préserver ton petit frère de ce monde injuste. La seule chose qui importait, c’était de le voir sourire, alors peu importe la douleur. Tu es resté immobile, fixant le sol, ta mère criant des horreurs sans nom, et toi muet. Les minutes qui suivirent, tu montas t’enfermer à ta chambre, la plus haute de la bâtisse. Sur ton lit, enfin, tu pleuras.

Alors que tu souffles les bougies de ton neuvième gâteau d’anniversaire, tu fais le vœu que tout s’arrange. C’est devenu de plus en plus difficile chez toi. De l’audace et du courage, tu n’en manques pas, mais chaque fois, tu ne fais que de t’attirer des ennuis. Le discours de tes parents ne changent pas, mais toi, tu as maintenant l’âge de comprendre beaucoup de choses. Depuis la fenêtre de ta chambre, tu observe souvent le monde extérieur, et tu rêves d’être libre. Mais pour l’heure, tu es assis à cette table avec tous les représentants de la famille Black dont tes cousines Andromeda,  Narcissa, et la pire de toutes, Bellatrix. Déjà âgée de dix-huit ans, cette femme est un véritable danger pour toute forme de vie. L’assemblée est joyeuse, mais toi, tu es brisé intérieurement. Tout ça, ça te dégoute. Ta famille te dégoute. Comment peuvent-ils être aussi horrible ? Ton regard se pose alors sur Regulus, un petit sourire apparait alors sur tes lèvres. Après tout, tu avais encore ton petit frère, et pour ça, tu étais chanceux. Secrètement, tu espérais qu’il suivrait ton exemple, si ce n’est en se rebellant, qu’il ne soit pas un « Black ».

Un cri de joie t’échappa alors que tu serrais contre ta poitrine ce petit bout de papier qui t’annonçait ton départ pour Poudlard. Pour la première fois depuis des années, tu étais véritablement heureux, sans aucun arrière goût amer. Tu as onze ans, et tu as bien comprit que tu n’as déjà plus ta place dans la maison de tes parents. A vrai dire, tu as onze ans, mais tu as déjà envisagé de fuguer loin de tout ça, seulement, où serais-tu aller ? Et puis, il y avait Regulus. Pour lui, tu resterais. Ton sourire ne fait que grandir quand tu présentes avec fierté ton bout de papier à tes parents qui ne le regardent qu’à peine. Tant pis, c’est pas grave. Tu cours à la chambre de ton frère, et tu lui montres à son tour ! Rempli d’enthousiasme, tu lui racontes que tu t’y vois déjà, et tu ris devant sa petite mou. Il n’allait pas l’air heureux de te voir partir, mais comment pourrais-tu lui en vouloir ? Vous avez été l’un avec l’autre depuis sa naissance, et même si petit à petit vous vous éloignez l’un de l’autre, il est encore le plus important pour toi.

Poudlard, ce fut un libération pour toi. Là bas, tu étais qui tu avais envie d’être, loin de tes parents, loin de ta famille, loin de tout ce qui pouvait te faire du mal. Seulement, l’année scolaire se termina, et tu fus bien contraint de rentrer chez toi. Tu avais profité jusqu’à la dernière seconde de tes amis avant de descendre du Poudlard Express et de retrouver ton père, qui te regarda silencieusement. Il ne dit pas un mot avant alors que vous rentiez à la maison, et c’était très bien comme ça. Tu n’avais pas envie de lui parler, ni à lui, ni à ta très cher mère. La seule personne a qui tu avais véritablement envie de parler, c’était Regulus. Il fallait que tu lui comptes toutes aventures et que tu lui parles de tes nouveaux amis, James, Remus et Peter ! C’est avec un grand sourire que tu passas la porte d’entrée, loin d’imaginer ce qui t’arriverait. Tu étais un affront pour tes parents, toi, à Gryffondor, ami avec des nés moldus. Aussi, tu remercias le ciel que Regulus ne fut pas présent ce jour là. C’est à cet instant que tu as comprit. Tes parents te détestaient.

L’été avait été affreux, et tu espérais vraiment beaucoup de l’arrivée de Regulus à Poudlard. Tes parents t’ont clairement fait comprendre que là bas, quelqu’un pouvait te surveiller, et que maintenant, tu ne serais plus jamais libre de faire le moindre mouvement sans qu’ils ne soient au courant, alors voir ton petit frère enfin rejoindre Poudlard, c’était un véritable soulagement. Ton petit frère adoré te rejoindrait bientôt à Gryffondor, et tu pourrais enfin profiter de lui sans craindre que ton caractère et tes idéaux ne lui causent plus de problème ! Seulement, quand son nom fut enfin appelé, et qu’on posa le Choixpeau sur la tête de ton petit frère, tous tes espoirs volèrent en éclat. Il était à Serpentard, comme le reste de ta famille. Peut-être que sur ton visage, on lisait un peu trop la déception à cet instant, mais tu aurais tant aimé retrouver ton frère comme avant, que tu ne pus la cacher. Regulus était-il comme les autres ? Partageait-il les idéaux de tes parents ? Tu aurais aimé pouvoir lui parler, essayer de le comprendre, mais au fond de toi, tu le savais. On vous surveillait. Lui parler, ça aurait été le mettre en danger.

A mesure que le temps passait, tu voyais ton frère devenir de plus en plus accessible. Quatorze ans, maintenant, et plus un mot entre toi et lui, mais au moins tu avais tes amis. Dans ce monde, James, Remus et Peter étaient peut-être les seules choses qui t’empêchaient de perdre prise. Pour eux, tu aurais tout donné sans hésiter, et c’est sans doute pour ça que tu as commencé à être plus attentif à eux. Un frère, tu en avais déjà perdu un, tu ne voulais surtout pas perdre ceux-là. C’est sans doute pour ça que tu as commencé à voir tous les signaux d’alarmes concernant Remus. Quelque chose n’allait pas, et petit à petit, tu finis par comprendre. Remus était un lycanthrope. Le coeur lourd, tu ne pouvais t’empêcher d’imaginer combien il devait en souffrir, et aussitôt, l’as-tu su que tu l’avais déjà raconté à James. Quelques conversations et argumentations plus tard, vous voilà assit à une table James, Peter et toi. Une bonne vingtaine de livres autours de vous, c’était peut-être la première fois que tu travaillais autant. Et puis sous l’ironie, lançant sans vraiment y croire, Peter venait de suggérer de devenir Animagus.




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