Le monde tourne. La terre tremble sous ses pieds. Chancelant, éclatant d'un rire mauvais, l'être aux pensées cruelles se rattrape de justesse à la porte des toilettes, débraillé comme jamais il ne l'a été. Vue floue. Souffle saccadé. Cosme lâche un grognement, alors qu'il tente maladroitement, de rejoindre un cabinet libre pour aller vider sa vessie. Si son père le voyait bon sang. Il serait déshérité sur le champ. Ou pire. Marié pour être tenu en laisse à une donzelle désagréable et sans queue entre les jambes. Cruel destin. Il le faudrait un homme et une femme. Mais ça, Cosme le dira jamais à vieux géniteur. Il a p't'être, un peu trop abusé, de ce joint sorcier aux odeurs alléchantes, et de cette boisson alcoolisée, offerte par son frère. Ariel. L'enfoiré. Il a finit par rentrer, le laissant en plan. La p'tite sirène a fuit, face à l'ivresse impressionnante de son jumeau.
Le pantalon qui tombe jusqu'aux chevilles. La chemise remontée jusqu'au ventre. Le corps de Cosme se penche sur le côté sans qu'il ne puisse faire quoi que ce soit, sa tête venant frapper avec violence le mur des toilettes du bar sorcier, dans un bruit sourd. Eh. Eeeeh. Vas-y tout doux mon gars. Chantonne le grand blond, tout en se regardant faire ses besoins, avec un intérêt soudain. Il gazouille, chantonne, ferme par moments les yeux. Celui qui sera en charge du nettoyage risque de le maudir, c'est certain. Peu importe, dans le fond. Demain matin, Cosme ne se souviendra plus de rien. Allez, à trois, on sort. Murmure-t-il, le souffle alcoolisé, alors qu'il sort finalement des toilettes, sans avoir pris la peine de se rhabiller. L'adulte traîne des pieds, se heurte au lavabo, puis se lave les mains, jusqu'aux épaules - allez savoir pourquoi. Une petite douche avant l'heure ? Cosme est dans un sale état.
La chaleur grimpe. Le corps en feu. L'envie d'aller explorer le monde sans toutes ces couvertures de vêtements, cachant son corps au monde entier. Cosme. Cosme. Cosme. Il laisse la folie prendre le dessus. Sans personne pour le chaperonner, l'ancien Serpentard finit par balancer sa chemise sur le porte serviette accroché au mur. Attention les yeux ! Braille-t-il, avant de prendre la sortie des toilettes, poussant la porte avec une violence injustifiée. Le bruit qui résonne dans le bar lui attire tous les regards. Et Cosme, cet imbécile, s'élance en direction de sa place habituelle, pour commander un nouveau verre. Il a pourtant pas si bu. Juré-craché. Allez, allez, faut m'remettre la même, plus fort, plus fort. Qu'il demande, en tapant du poing contre le marbre, sous le regard ahuri du serveur. Bientôt, on le forcera à se rhabiller, car déjà, le propriétaire s'approche en soupirant, se disant que c'est la deuxième fois en un mois, que Cosme cause des problèmes.:copyright:️ 2981 12289 0
Il se traîne jusqu'au bar, cul-nu, le torse en évidence, sans aucun vêtement pour le protéger des regards indiscrets des sorciers présents dans le bar. Ariel est parti. Il l'a laissé tout seul, comme un con, alors qu'il est certainement trop éclaté pour transplaner sans mettre sa propre vie en danger. Le type braille au bar, tapant du poing contre le marbre, sans se soucier de l'abîmer ou non, ignorant le presque fou rire de la jeune femme installée à sa droite. Il remarque même du coin de l'oeil, que la donzelle ne se gêne pas pour le reluquer et ça le fait rire de manière mielleuse, alors qu'il défie le patron du regard. Un vieil ami d'la famille Bulstrode. Il faudrait pas s'attirer les foudres du père de ce gamin. Car oui, malgré ses vingt-six années, faut se l'avouer, Cosme, il agit toujours comme un gosse en pleine crise d'adolescence. Il lui reste quatre années de liberté, alors il compte bien en profiter. Il est pas certain qu'une fois qu'il sera marié, il pourra se permettre de faire toutes ces choses.
L'inconnue à sa droite prend les devants, avant même que le sang mêlé tenant l'endroit ne lui fasse la morale. Le sorcier aux fesses rebondies se tourne aussitôt vers la grande brune, certainement un peu plus âgée que lui, alors qu'il lève les yeux au ciel, un sourcil arqué vers le haut. « Eh, ma p'tite dame. Tu vois pas qu'le monsieur allait me mettre la fessée? » Qu'il grogne, sous le regard gêné du concerné, qui lâche un soupire lasse, bien que son regard amusé le trahisse. Cosme est plutôt drôle, avec un petit coup dans l'nez. Il n'a rien du type impulsif et violent qu'il peut être à longueur de journée, lorsqu'il boit trop. Mais ce soir, c'est certainement la drogue, qui le met dans cet état. Il n'en prend pas souvent. Faudrait pas qu'il devienne dépendant, v'voyez. Alors que la donzelle est penchée vers lui, Cosme ne se gêne pas pour reluquer le décolleté désormais à son niveau, avant qu'elle ne se redresse finalement. « C'est pas comme s'ils avaient jamais vu une queue d'leur vie. » Qu'il se défend, légèrement tanguant, avant qu'il ne se fasse reprendre, par le quinquagénaire dans son dos. « Allez, ça suffit, Bulstrode. Remet-moi ce foutu pantalon, où je te jure que je te ramène chez ton vieux père sur le champ. Et avise-toi de terminer cette soirée habillée, sinon, la menace sera mise à exécution, c'est clair Cosme? » Le concerné grogne, se tapant le front de sa main gauche avant de se pencher, les fesses en l'air, pour remonter son pantalon maladroitement. Ce n'est que lorsqu'il referme sa ceinture, que le sang pur se permet de regarder à nouveau l'inconnue.
« Cosme Bulstrode, pour vous servir. Faut pas vous en faire pour c'brave type. Il est sympa, même s'il est grognon. J'paie votre prochain verre ? Juste parce que vous avez essayé d'prendre ma défense, j'dois au moins ça, et puis, ça vous donnera l'obligation d'vous présenter à ce très cher Cosme Bulstrode, ma p'tite dame! » Et le voilà qu'il parle de lui-même à la troisième personne alors qu'il peine à grimper sur le tabouret, pourtant à la hauteur de ses hanches. L'ancien Serpentard glisse, s'éclatant au sol, dans une grimace douloureuse, tandis que quelques rires discrets se font, un peu plus loin. Marmonnant, l'homme avec un sacré coup dans le nez se relève avant de s'asseoir comme si de rien était, son coude manquant le bar, et il tangue dangereusement, pour se rattraper d'une main sur la cuisse de la grande brune au regard perçant. « Ah, s'cusez-moi. J'suis pas du genre à faire des attouchements d'habitude. J'préfère les minettes et les minets qui paraissent innocents, mais faut qu'ils soient majeur, quand même. » Qu'il balance, maladroitement, la voix pâteuse et lente, avant que Cosme n'attrape son verre un peu brusquement pour le fixer, comme s'il regorgeait des plus grands mystères de la vie. :copyright:️ 2981 12289 0
Cosme il tient pas vraiment debout. Il a la tête qui tourne. Les tripes au bord des lèvres. Mais il tient le coup. Faudrait pas qu'il entache sa réputation de bon buveur, voyons. C'pas comme s'il était un habitué de ce bar, le bougre. Il marmonne, en haussant des épaules, son regard s'arrêtant, un instant, sur le joli décolleté de la gente dame qu'il ne connaît ni d'Adam, ni d'Eve. Faut dire, qu'il essaie d'pas trop s'faire de potes, le con. Il aime bien être tout seul. Ou avec ses trois potes musiciens. Y'a que ça de vrai, la musique, dans la vie. « Bah, au pire, vous pouvez tous les faire sauter, ça ira plus vite. » Qu'il balance, sans aucune gêne, en offrant un joli sourire à la grande brune à sa droite. Il ne se gêne jamais pour se rincer l'oeil. Tant qu'il ne touche pas, il n'est pas hors la loi, n'est-ce pas ? Alors autant faire plaisir à ses rétines. Le sang pur finit par remonter son pantalon, chancelant quelque peu, tout en ignorant de son mieux, les menaces. Ah. Si l'paternel apprenait ça. Il s'ferait reprendre bien sévèrement. Ou pas. Y'aurait juste à lui faire les yeux doux et papa Bulstrode laisserait couler, comme toujours. Y'a de quoi en profiter, quand on est le chouchou d'un grand héritier.
Finalement habillé, tout du moins, pour le bas, en tout cas, Cosme se présente avec douceur, poli et souriant. Il lui propose même de lui payer un verre, tout simplement parce qu'elle a pris sa défense, ou presque, face au propriétaire du pub. Ah. S'il avait su, il aurait tout de même autant bu. Histoire d'amuser la galerie. L'inconnue termine son verre d'une traite sous le regard étonné de l'ancien Serpentard, avant qu'il n'hoche de la tête. « Tant qu'vous finissez pas l'cul à l'air comme moi. Enchanté Sigyn. Enfin j'crois. Z'êtes pas d'ici, j'me trompe ? Y'a un léger accent qui s'envole dans l'air. » Fredonne mélodieusement l'héritier Bulstrode, avant de s'étaler au sol, tel un malpropre. C'pas comme s'il devait faire un effort pour paraître moins maladroit. Mais y'a tellement d'alcool dans son sang, que Cosme est certain qu'il serait incapable de transplaner pour le moment. Il se relève, grimaçant quelque peu, puis grimpe rapidement sur le tabouret. Ses aventures ne semblent pas vouloir se terminer. Son coude évite le bar, et sa main termine son chemin sur la cuisse de la demoiselle. Ah. Sigyn. Dans quoi avez-vous mis les pieds ?
Cosme s'excuse un peu rapidement, avouant ses préférences sexuelles comme si de rien était, avant de bailler, lançant un regard à son nouveau verre bien rempli. Quelques gallions sortis naturellement de sa poche glissent jusqu'à la main demandeuse du serveur et Cosme lui indique de garder la monnaie. L'est pas à ça prêt, le type, visiblement. « C'comme si on se connaissait depuis l'bac à sable, maintenant. » Balance le châtain, avant de glisser ses longs doigts autour de son verre, faisant signe à la grande dame de trinquer avec lui. Le bougre n'est clairement pas là pour draguer, mais faire ce genre de rencontres, faut avouer que ce n'est pas si désagréable, même lorsqu'on a la tête si lourde, qu'il serait impossible de dormir, même sur le matelas le plus confortable du monde. « C'est à charge de revanche, non ? P't'être qu'un jour, j'vous verrai à poil. » Il n'en perd pas une, ce con, mais il éclate d'un rire franc, avant de secouer de la tête, buvant quelques gorges de sa boisson, laissant un soupire de satisfaction s'échapper d'entre ses lèvres. « Z'attendez quelqu'un ? J'me demande quand même c'qu'une femme dans vot'genre fait par ici. J'risque pas de pouvoir vous sauver, j'vous assure. Je suis certain que je suis prêt à m'endormir sur le sol, l'cul en l'air. » Avoue Cosme, tout en tapotant des doigts contre la table, avant de lâcher un petit rot. Y'a rien de sexy là-dedans, Bulstrode. :copyright:️ 2981 12289 0
Cosme, il n'a jamais été l'ombre de lui-même. Quand bien-même, le jeune homme semble ne plus être maître de ses propres pensées, il l'ait tout bonnement, autant que d'habitude. Oui. Oui. Même avec autant d'alcool dans le sang, le châtain agit de la même manière qu'en tous temps ; soit, tel le premier casse couille sorti d'une ruelle sombre, avec des envies et des idées étranges. L'héritier Bulstrode n'a jamais agit comme tout le monde. Enfant, il se fichait bien d'être obèse aux yeux des autres. Lui, tout ce qu'il voyait, c'était simplement qu'il pouvait manger tout ce dont il avait envie, sans se faire jamais réprimander. Il en a profité. Longtemps. Jusqu'à-ce que son paternel décide qu'il était temps pour son fils cadet, d'arborer une meilleure carrure. Cosme, il a écouté sagement ; faisant du sport durant ces deux longs mois d'été, loupant un repas par jour, le seul auquel il avait le droit, n'était qu'une pauvre soupe aux oignons. Toujours la même dégueulasse soupe. Chaque jour. Et finalement, Cosme a réussit. Il est devenu plutôt beau garçon, même si, les goûts de chacun se discutent, dans le fond. La beauté est subjective. Cosme le sait. Il lui arrive de mater des types aux gueules atypiques, après tout. « Vous êtes plus pudique que moi, c't'une bonne chose. J'suis certain que beaucoup de sorciers dans cette ville, peuvent jurer avoir déjà vu ma queue. » Avoue le grand châtain, avec une légère pointe de fierté. L'alcool. Clairement. Il est plus joyeux que d'habitude. Plus con. Plus ouvert d'esprit. Il serait même capable d'avouer son amour à son pire ennemi, sans même le penser réellement. C'est un comble. Pire qu'un gamin de douze ans. Cosme a l'impression de voir la vie arc-en-ciel.
Il a maté les seins de la petite dame. En même temps, ce n'est pas comme si, le corps humain était fait pour être caché. Il faut s'assumer un peu. Tout le monde possède les mêmes attributs. Ce ne sont que les tailles qui changent, après tout. Et Cosme, lui, il s'en fout, de ce qu'on peut bien penser de lui. C'est un sang pur. Il est parfait, voyez-vous. « A nos souvenirs du bac à sable! Renchérit le fils Bulstrode en venant trinquer, les deux verres remplis d'alcool s'entrechoquant avec une certaine douceur, que le type ne se connaît pas. Lui, il est toujours brusque, toujours violent. Il parle mal, il aguiche. C'est un véritable con. Un bandit. Un truand. Un mangemort. Un enfoiré de première. Le roi des cons. D'autant plus, qu'ils ne se connaissaient pas, tous les deux, avant ce soit. Et pourtant, Cosme, il fait comme s'il la connaissait depuis toujours. Il devrait vraiment songer à aller se coucher un peu, ça lui ferait un bien fou, même si c'est dans une ruelle non éclairée. Cosme se retient de ne pas boire son verre cul sec, d'une traite. Il sirote, avec douceur, glissant sa langue sur ses lèvres pour ne perdre aucune goûte de ce précieux liquide aromatisée. « J'tiens déjà pas d'bout, vous savez, dame Anvorklerk ? J'ai d'jà oublié, désolé. On va dire Sigyn, ça ira plus vite! » Finit par balancer le bougre, tout en tapotant ses doigts contre le bar. C'est clair et net. Il s'rait même pas capable de bouger ses hanches. Cosme est certain que lorsqu'il arrivera chez lui – s'il y arrive ; il s'endormira à peine une main sur son matelas à mémoires de formes.
Il ne se retient pas, le con, de poser des questions. Et encore moins, de jouer les petits détectives. Faut l'avouer. Son accent lui picote les oreilles. Il espère soudainement qu'il ne s'agit pas là d'une pote à Dolohov. Ce serait vraiment dégueulasse. Puis, il se souvient soudainement. Elle lui a répondu à cette question, il y a quelques minutes. Danemark. Il aurait préféré un pays chaud, comme l'Italie ou la Grèce, voyez, mais non. « C'pas très féminin, une femme qui picole comme un trou. J'comptais pas vous sauver, j'serai plutôt du genre à regarder s'il se passait quelque chose, vous savez. L'destin, tout ça. Y'a bien une raison pour laquelle vous voulez picoler, nan ? Moi par exemple … Attendez. » L'abruti alcoolisé fait semblant de réfléchir, fixant, durant un court instant, le plafond avant de taper du poing sur la table, éclatant de rire; complètement hilare, avant de se calmer soudainement, le visage impassible. Ca ne va pas, hein. Faudrait vraiment qu'il se détende, celui-là. « Ouais nan. J'ai aucune, mais aucuuuuune raison d'boire autant. J'le fais juste, parce que c'est marrant. J'étais avec mon frère, la p'tite sirène Ariel, mais il s'est barré. » Vu comme ça, dit comme ça, il est certain que Sigyn risque de ne pas le croire. Mais Cosme n'y peut rien, si son jumeau s'appelle bel et bien Ariel, après tout. C'était une idée de con. Il s'est toujours moqué de ce dernier. Qui oserait appeler un garçon, par un nom de princesse moldue, sans déconner . :copyright:️ 2981 12289 0
Cosme, il ne mâche pas ses mots, il se fiche bien de passer pour un mal poli. Mais il est pourtant bien plus agréable quand il boit que lorsqu'il est dans toute sa normalité. Un brin trop hautain, trop narcissique, alors que là, à l'heure actuelle, il cherche simplement à s'amuser, à faire l'idiot. L'alcool, ça le rend trop heureux, trop joyeux. Il n'est plus aussi bougon ou agressif. Il se moque moins et surtout, il arrête un tant soit peu de prendre les gens de haut. Il réfléchit. Il cherche une raison qui pourrait le pousser à boire à ce point ce soir, mais le beau châtain n'en trouve aucune. À dire vrai, dans le fond, il en avait juste envie. Que voulez-vous ? La vie est faite pour s'amuser. Voilà tout. Un coup de poing sur la table qui fait sursauter la jolie brune et le voilà qui se remet à parler après avoir éclater de rire. Il remarque rapidement que la jeune femme s'étouffe un peu et vient lui tapoter le dos. « Vas-y, crève pas tout de suite, j'pensais vraiment qu'j'allais finir par te faire les yeux doux! » Il s'égosille, il s'amuse, mais il n'en pense pas vraiment le moindre mot. Ce serait bien, d'se faire un ou deux amis sincères, dans le fond. C'est sur que Cosme a jeun ne penserait pas une telle chose, mais le type bourré qui lui sert de miroir s'en cogne complètement.
« Faudrait que j'vous prenne en photo ? Vous voulez tout de même pas que je vous peigne à moitié nue pendant qu'on y est ! Enfin, ça ne me dérangerait pas vraiment, z'êtes pas si vieille. » Cosme et son tact légendaire. Il ne se rend même pas compte de la connerie qu'il vient de sortir. Mais c'est vrai. Sigyn doit être plus âgée que lui. Lui a-t-elle d'ailleurs déjà dit son âge ? Il ne sait pas. Il ne sait plus. Ça le fait s'arrêter de bouger un instant, le regard vide, avant qu'il ne se reprenne. « Vot'patron ? Pourquoi ? Il vous a fait des avances, mais il est grassouillet ? Pire encore …. Il vous a piqué un poste que vous visiez ? Vu vot'tenue, j'en juge que vous faites un boulot dans les bureaux. » Il hausse un sourcil, se penchant un peu vers elle, la jugeant de son regard d'homme rincé, avant de se redresser une nouvelle fois.
Il sourit en coin, sans même savoir qu'il a touché dans le mille. Cosme il est plus intelligent qu'on ne pourrait le croire à première vue. C'est un type rusé qui ne se laisse pas faire et qui a toujours plus d'un tour dans son sac. Mais il apprécie de passer pour un demeurer. Ça lui a permis de se sauver les miches un bon nombre de fois depuis Poudlard. Surtout par les temps qui courent. Faire l'idiot, ça permet de faire relâcher son attention à son plus terrible ennemi et ça, le Bulstrode, il l'a vite compris. « Quoi ? Eh, même l'alcool me fera pas oublier le prénom d'mon frère jumeau. Ariel. Ouais. Comme ce conte pour gamins, là. C'est ma sirène, même si j'suis le plus beau des deux. Il a les fesses plates, lui. Alors que moi ... » Et le voilà qui se lève pour mouver ses fesses sous le nez de la grande brune, avant de se rasseoir fièrement, un sourire narquois étirant ses lèvres. « Suffit qu'on me foute des longs cheveux blonds et j'pourrais passé pour une jolie nana, j'suis sûuuuur de moi! » Connerie humaine non volontaire. S'il se rappelle de cela, demain, au réveil, cela risque d'être jolie. :copyright:️ 2981 12289 0
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Sujet: Re: Mais j'dormais pas, j'étais bourré ! (sigyn)