[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] nom complet : Fanny Geillis MacDougall;
âge, date de naissance: 17 ans, 11 décembre 1959
lieu de naissance: Ecosse
nature du sang : Sang pur
métier, études: Etudiante en dernière année à Serdaigle
orientation sexuelle & statut social: Asexuelle/Aromantique, célibataire
traits de caractère: Sérieuse-Curieuse-Piquante-Peu sociable
groupe: Protego;
avatar: Adelaide Kane

caractère ou anecdotes

Une des premières choses à savoir sur Fanny MacDougall, c’est qu’elle est discrète et réservée, elle n’aime ni la foule, ni le bruit, évite les conflits et les gens populaires comme la peste. Elle ne se mélange que peu aux autres, vivant dans son monde et n’est pas très loquace. N’allez toutefois pas imaginer que la jeune fille est une cible facile pour les moqueries, elle est peut-être calme mais ne se laisse pas faire.

C’est sans doute parce que Fanny est passionnée d’astronomie qu’elle est aussi à part, elle est dans la lune, son esprit vagabonde parmi les étoiles et les comètes. Si vous la voyez les yeux dans le vague, pensive, c’est qu’elle est en train de penser aux constellations et il est alors inutile d’essayer de lui parler. Vous pouvez même allumer un feu d’artifice à côté d’elle, elle ne s’en rendrait pas compte.

Pourtant Fanny n’est pas qu’une jeune fille rêveuse un peu solitaire. Si elle se passionne pour l’immensité de l’espace, la demoiselle sait garder les pieds sur Terre. Organisée et plus ponctuelle et que la ponctualité elle-même, Fanny est à l’image des Serdaigle, sa maison, une personne ayant soif d’apprendre, studieuse, passionnée et un peu originale, comme tous les élèves de cette maison. La bibliothèque est un de ses endroits favoris à Poudlard bien sûr et les livres sont ses meilleurs amis.
Elle n’aime pas l’imprévu et aime que sa vie soit bien organisée, au point de ne pas savoir lâcher prise par moment et de paniquer à la moindre incartade.

C’est aussi une personne d’une grande tolérance, ce qui est étonnant quand on sait qu’elle provient d’une famille de sang-pur mais les MacDougall sont connus pour leur originalité et le fait de fréquenter Serdaigle, une maison qui prône l’ouverture d’esprit font que la jeune fille est plus ouverte aux changements (tant qu’ils ne concernent pas son emplois du temps…) et à l’acceptation des autres. Elle ne partage pas les idées de la plupart des autres familles de sang-pur sur la soi-disant suprématie des sorciers sur les moldus ou de la pureté du sang, bien que par mesure de prudence et aussi par peur, ni elle ni aucun membre de sa famille n’ose encore le clamer haut et fort ou s’opposer directement à la monté en puissance du fameux mage noir…

D’apparence froide et hautaine, Fanny peut en effet se montrer assez fière et orgueilleuse, d’une part à cause de son éducation et de son milieu social, mais aussi à cause d’une certaine forme de mépris envers ceux qui ne penserait pas comme elle. Car la seule chose qu’elle ne tolère pas c’est… l’intolérance. Elle peut aussi avoir quelques a priori sur les gens, notamment les plus populaire et il en faudra beaucoup pour la faire changer d’avis d’opinion sur quelqu’un.

Même si elle ne parle pas beaucoup, elle écoute plus qu’elle ne parle en fait, quand sa langue se délie, elle peut être aussi acide qu’un citron. Elle est franche, peut-être même trop et n’hésite pas à remettre les gens à leur place.

Elle n’a que peu d’amis, mais cela lui suffit amplement.

En résumé Fanny pourrait être comparé à une rose aux aspect délicat et innocent mais aux épines piquantes quand on y prends pas garde.  

Fille unique de Angus et Moira MacDougall, Fanny a grandit choyée et gâtée par ses parents, sans pour autant devenir une petite peste en grandissant. Elle a reçu l’éducation que l’on attendait pour toute sorcière de son rang, même si ses parents se sont montrés un peu plus laxistes et ne lui ont jamais bourré le crâne d’idées suprémacistes, ce qui fait qu’aujourd’hui Fanny voit d’un mauvais œil la montée au pouvoir des mangemorts et craint qu’ils ne tentent de forcer sa famille et donc elle, à rejoindre leurs rangs.

Bien que le mariage d’Angus et Moira ait été arrangé, les deux époux ont appris à se connaître et s’aimer, leurs personnalités créatives s’étant étonnamment bien trouvées.

Fier et conscient de son rôle de chef de clan, Angus est un homme ayant un sens aigu de la justice et très écossais, abordant fièrement le tartan du clan et un excellent duelliste et qui ne déroge jamais à ses principes. C’est aussi un peintre de talent, qui troque volontiers sa baguette magique contre un pinceau et dont certaines toiles sont exposées à Poudlard.
Quant à Moira, bien qu’ayant grandit en Angleterre, elle a réussi à s’intégrer à l’Écosse et à se faire imposer. D’une beauté froide et hautaine, elle est un peu plus stricte que son mari sur l’éducation de leur fille mais elle pense le faire pour son bien. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et ne perd jamais son calme et ses colères sont aussi glaciales que l’hiver. Bien qu’elle ait l’apparence de la parfaite épouse de haute famille, Moira est une femme active, passionnée par les milieux aquatiques et étudie la faune et la flore aquatique écossaise, se faisant un plaisir de plonger dans les eaux glacées des loch, à la recherche de nouvelles créatures ou plantes, maîtrise la langue des peuples aquatiques, ce lui lui est très utile en cas de rencontres fortuites et possède un immense aquarium regorgeant d’espèces en tout genre, dont un magnifique spécimen de triton à double queue.

Bien que venant de familles de sang-pur, les MacDougall ont toujours été proches des moldus, sans pour autant se mêler complètement à eux, les chasses aux sorcières ayant dissuadé les sorciers de se marier avec eux, ils en gardent une bonne opinion et ne pensent pas qu’ils faillent les exterminer ou se sentir supérieur, en revanche ils veulent que le société magique demeure secrète, considérant que les deux mondes n’ont pas à se mêler des affaires des autres, sauf en cas de crise majeure comme une guerre et pour certains, craignent que l’un ou l’autre ne souhaite prendre l’avantage sur l’autre.
C’est donc dans cette pensée que Fanny a été élevée, avec en prime les cornemuses et les histoires de fantômes écossais.

Jusqu’à ce qu’elle reçoive sa lettre pour Poudlard, Fanny a grandit la plupart du temps seule, ce qui doit expliquer en partie son caractère. Elle n’était pas négligée par ses parents au contraire, sa mère prenait le temps de lui lire des histoires ou de jouer avec elle, son père lui a appris à dessiner, à grimper aux arbres et à jouer à la bataille explosive mais étant aussi pris par leur propre obligations, Fanny se retrouvait au aussi seule, quand elle n’était pas en compagnie de sa gouvernante ou des elfes de maison qui lui faisaient un peu peur avec leur grands yeux ronds. Elle ne s’en plaignait pas,  profitant du fait d’être seule pour développer son imagination et sa future passion pour les étoiles.
C’est en accompagnant son père, un soir d’été qu’elle se prit de passion pour l’astronomie. Elle observait son père préparer sa palette de peinture, mélangeant divers teintes de bleu et un peu de noir pour obtenir la couleur du ciel nocturne et obtenir un magnifique tableau qui allait orner les murs de sa chambre par la suite.
En revanche Fanny n’appréciait pas les fois où les obligations sociales de ses parents l’obligeaient à fréquenter d’autres gens, d’autres enfants pour la plupart plus âgés qu’elle et qui usait de leur magie pour l’embêter ou bien se montrer insupportables et prétentieux en se pavanant dans des robes hors de prix ou se vantant d’appartenir à telle ou telle famille.  


La première manifestation de magie de Fanny remonte à ses six ans, alors qu’elle avait été invitée chez une tante éloignée de son père à prendre le thé et que le petit-fils de cette vieille tante, un grand dadet d’environ douze ans, lui avait volé sa poupée pour la jeter dans le ruisseau qui coulait tout près de la maison. Furieuse, la petite Fanny sentait la colère monter. Frustrée d’être trop petite et pas assez forte, ni rapide pour reprendre sa précieuse poupée qu’elle trimballait partout à l’époque, elle souhaitait trouver un moyen de la récupérer saine et sauve, parce qu’elle savait bien que si elle avançait d’un pas, Betty – la poupée – finirait trempée et fichue. Et elle ne voulait pas déranger ses parents. Elle avait acquis une certaine fierté qui l’empêchait d’aller demander de l’aide alors qu’elle en avait besoin.

« Alors tu la veux ta poupée morveuse ? Viens la chercher ! »

Et ce crétin, dont elle ne se souvenait plus du nom, l’agitait avec nargue au dessus du ruisseau. Fanny trouva à se moment là qu’il avait l’air d’un rat avec ses petits yeux et ses grandes dents. Voyant sa petite mine frustrée, le garçon loucha puis lui tira la langue, très fier de lui, heureux de tourmenter une gamine, une cible facile pour lui. C’était tellement plus amusant et facile que d’essayer de se frotter à quelqu’un du même gabarit que lui ou même plus fort. C’était un crétin et un lâche, qui n’avait pas supporté qu’une enfant de six ans lui fasse la leçon sur sa manière de manger, dégoûtante en mettant des miettes de scones partout et faisant des bruits de bouche répugnants.  Alors pour se venger, il lui avait volé sa poupée, se plaisant à la voir hors de portée de cette salle gamine.

« Oh le gros bébé qui pleurniche ! Gros bébé ! Gros bébé ! »

Sentant les larmes lui monter aux yeux, elle baissa les yeux et serra les poings de rage. Puis elle l’entendit rire et sa colère se décupla. Il avait un rire insupportable, suraigu, comme une hyène.  Puis elle remarqua quelque chose par terre. Elle faillit reculer mais se retint. Là, juste entre eux se trouvait une fourmilière. De fourmis rouges. Elle ne savait pas grand-chose à leur sujet, juste qu’elle piquaient. Puis elle reporta son attention sur le crétin et sa poupée, se décidant à faire quelques pas, contournant soigneusement la fourmilière. Elle n’allait pas le laisser faire, elle était une MacDougall comme lui répétait souvent son père et elle n’allait pas laisser Betty aux mains de cet idiot, c’était sa poupée, son amie nom d’un gnome ! Elle fit quelques pas quand soudain il se mit à crier, à pousser des petits cris qui le fit encore plus ressembler à un rat et Fanny tomba à la renverse quand elle découvrit les raisons de ses cris : les fourmis venaient de grimper sur les jambes du garçon et l’attaquaient sans pitié. Apeuré, il lâcha sa précieuse Betty, qui faillit bien tomber dans le ruisseau, mais au lieu de ça, elle resta un moment dans les airs, avant de voler sagement vers sa propriétaire qui la serra fort dans ses petits bras avant de s’enfuir et de retourner à l’intérieur en sécurité

« Bien fait ! » songea-t-elle alors qu’elle voyait le garçon sauter dans le ruisseau dans l’espoir de faire fuir les fourmis.

Le jour où une chouette est venue déposer sa lettre d’admission à Poudlard, elle se sentit plus heureuse que jamais, encore plus que le jour où elle avait reçu un télescope pour son anniversaire et que les elfes de maison lui avaient confectionné un gâteau recouvert d’un glaçage bleu nuit, miroitant, donnant l’effet d’un ciel étoilé.
Ses parents avaient eux, aussitôt parié sur la maison dans laquelle elle serait répartie, son père, un ancien Poufsouffle, la voyait à Serdaigle et sa mère espérait la voir suivre ses traces à Serpentard, comme quoi tous les sang-purs ne sont pas des Serpentard qui ne se mélangent pas avec les autres maisons.
Sur le Chemin de Traverse, Fanny a acquis une baguette en bois de charme de 30,5 com, peu flexible avec pour particularité d’être composée d’une épine du monstre du fleuve blanc mais aussi une quantité impressionnante de cartes du ciel d’un magnifique chat noir qu’elle a appelé Minkar d’après une étoile faisait partit de la constellation du Corbeau.

Quand Fanny est entrée à Poudlard, elle a été envoyée à Serdaigle, la rendant folle de joie à cause de la tour qui allait lui permettre d’observer les étoiles à sa guise.

Lors de sa première année, Fanny est restée seule la majeure partie du temps, n’arrivant pas à s’intégrer avec les autres élèves, qui ne comprenaient pas sa passion pour les étoiles et elle n’aimait pas rester avec les élèves issus de famille de sang-pur, qu’elle connaissait déjà un peu et qui, pour certains lui avaient fait mauvaise impression ou qui, car tous n’étaient pas mauvais et prétentieux, ne comprenaient pas sa passion dévorante pour les étoiles et la trouvaient un peu étrange, ayant du mal à établir une conversation ou d’autres points communs.

Elle a réussi à se lier d’avantage avec les autres lors de se deuxième année, sous la pression de ses parents qui s’inquiétaient de la voir seule mais aussi, sans pour autant lui dire, de la voir se mettre à part et risquer de se faire remarquer et d’attirer l’attention des familles plus puissantes. En effet pourquoi une jeune sorcière de sang-pur n’irait-elle pas se mêler avec les autres ?
C’est presque à contrecœur que la petite Fanny tentait tant bien que mal de se mêler à ses élèves, jusqu’au jour où elle décida qu’elle en avait assez de les accompagner lors des sorties à Pré-au-lard et décida d’aller investir la bibliothèque et la tour d’astronomie. Elle n’a pas été envoyée à Serdaigle pour rien.

Une fois, elle a presque réussi à terroriser un élève d’origine moldue en le harcelant que questions en apprenant qu’un membre de sa famille travaillait pour la Nasa et si c’était vrai que les moldus avaient réussi à marcher sur la Lune, chose qui lui semblait impossible puisque les moldus n’utilisaient pas la magie, à tel point que Dumbledore en personne du lui demander d’arrêter de l’embêter, même si sa curiosité était légitime, le suivre jusqu’aux toilettes pour obtenir l’adresse de son oncle astronome était une très mauvaise idée.

Désormais Fanny est sur le point d’entamer sa dernière année à Poudlard, avec pour objectif de réussir ses ASPICS et de rejoindre le centre de recherches en astronomie britannique le plus vite possible. En fait, elle espère, et ne l’avouera jamais à personne, pouvoir rejoindre le département collaborant avec les moldus, curieuse de connaître un peu plus leurs méthodes, plus avancées selon elle. Mais ce rêve risque de ne jamais se réaliser si ce mage noir réussi à mettre ses plans à exécution. C’est un nouveau dilemme pour Fanny : se taire, faire comme si elle était une gentille fille de bonne famille et faire croire qu’elle était partisane de cette secte aux idées extrêmes, jouer les madames toutlemonde et se taire, continuer sa vie ou bien dire ce qu’elle pensait et se dresser contre les oppresseurs ?

Rebienvenue à la maison, belle Fanny, et surtout félicitation, te voilà validée une fois de plus ! J'ai adoré lire ta fiche, et en apprendre plus sur ta douce Serdaigle ! J'ai hâte de lire tes RP, et même de rp avec toi.   Félicitations ! Tu as été reçu pour te joindre à nous dans cette magnifique aventure. Avant tout, nous te demandons de bien penser à vérifier qu'on a recensé ton avatar dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Nous allons très vite d'attribuer ta couleur et ton rang, mais tu peux dès à présent aller ouvrir ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pour te faire plein d'amis ! Tu peux aussi ouvrir ton [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pour classer tes aventures. Si tu as envie de romance, ou que tu es en manque d'affection, on peut aussi te proposer de poster dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Tu peux parfaitement écrire des scénarios, si tu as des envies de liens très précis ! On t'invite aussi fortement à venir nous rejoindre sur le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], sur la Chatbox ou sur le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] du forum ! On espère que tu te plairas parmi nous. À très vite sur Time Turner !