nom complet : Oliver Anderson;
âge, date de naissance: 16 ans, né le 21 Juin 1961;
lieu de naissance: Londres.;
nature du sang : Né Moldu.;
métier, études: 6ème année à Serdaigle. ;
orientation sexuelle & statut social: Hétérosexuel et Célibataire.;
traits de caractère: Curieux, Sarcastique, Moqueur, Intelligent, Sans tact, Franc, Réfléchi, Ouvert, Amical, Erudit, Possessif, Jaloux, Droit, Bienveillant, Patient, Rancunier, Rebelle.;
groupe: Confundo;
avatar: Noah Centineo;

caractère ou anecdotes

Pour Oliver, chercher les problèmes semble être une seconde nature. Si le jeune homme n’a pas la tête dans ses bouquins pour en apprendre toujours plus sur le monde magique dans lequel il fut plongé à ses onze ans, alors vous pouvez être sûr qu’il est probablement en train de se mêler d’affaires qui ne le regardent pas. Après tout, c’est plus fort que lui, un sentiment qui le pousse à vouloir aider ceux qui semblent avoir des problèmes, à tendre la main à n’importe qui, même ceux qui la repousse constamment en rechignant à accepter de l’aide, prenant sûrement cela pour de la pitié. Avec une once de fierté mal placée, Oliver a toujours voulu être bon pendant ses études à Poudlard. Quand les différentes maisons et leurs qualités lui furent présentées, il se voyait déjà chez Serdaigle, les plus érudits, ceux qui faisaient fonctionner leurs méninges pour devenir les meilleurs dans leurs domaines plutôt que de simplement se reposer sur leur impétuosité ou leur fourberie. Peut-être que cela venait de son éducation, ses parents lui ayant toujours inculqué que pour avoir un résultat, il fallait le mériter et mettre toutes les chances de son côté dans les règles de l’art. Il avait peut-être trop d’honneur pour être prêt à tout pour avoir les meilleures notes, mais voulait être fier de chacune de ses réussites en sachant qu’elles étaient les siennes.

Né-Moldu, Oliver ne risque pas d’être fermé sur les statuts de sang de chaque sorcier. Il préfère de loin estimer la valeur de quelqu’un par ses actes que par son arbre généalogique. Si personne ne doit être jugé coupable des crimes de ses ancêtres, alors personne ne devrait, selon lui, pouvoir se parer des exploits de ces mêmes ancêtres sans rien faire par lui-même. Depuis quelques temps, d’ailleurs, le jeune homme se dit que les sorciers ne devraient pas vivre cachés, que le monde, à l’image de ses parents, est peut-être enfin prêt à accepter la magie comme faisant partie intégrante du monde. Bien sûr, les intolérants existeraient encore chez les moldus, comme le groupe des mangemorts qui semblait avoir une dent contre ceux qui n’étaient pas des sang-purs, mais… Ils seraient probablement minoritaires. Les chasses aux sorcières et la mainmise des religion sur les esprits des gens était bien moindre qu’au Moyen-âge, après tout.

Enfin, si le jeune homme se mêle souvent des problèmes des autres, et en particulier d’une certaine Serpentard blonde qu’il aime faire descendre du piédestal sur lequel elle se pose en princesse d’un royaume qui n’est pas le sien, il sait aussi s’en causer sans demander son reste. Un trop grand franc parler, un manque de diplomatie et quelques problèmes avec les ordres et traditions qui peuvent lui sembler injustes font souvent qu’il se fait des ennemis en quelques mots seulement et lui donne une trop grande propension à aller à droite lorsqu’on lui dit d’aller à gauche juste pour être anticonformiste.

En ce qui concerne les détails plus anecdotique, sa baguette est en ébène, plutôt souple et de 24 centimètres, utilisant comme cœur un ventricule de dragon. Il possède aussi une chatte noire qui s’appelle Scathach.

Toute histoire a un commencement. Certains de ces départs peuvent être tragiques, d’autres plus… ironiques… Et il y avait le départ d’Oliver dans la vie. Un départ normal, sans soucis, sans bizarrerie. Le nourrisson était né dans une maternité de Londres, fils de William Anderson, professeur de Lettres et Janet Anderson, de son nom de jeune fille Carter, qui était quant à elle critique d’art. Une famille somme toute aisée mais normale, aimante avec leur nouveau-né sans pour autant le couver comme pourrait l’être bien des années plus tard un certain Dudley.

Dès ses premiers mois et sa croissance, le jeune enfant démontra une grande curiosité le poussant toujours à prendre des risques inconsidérés, à gambader d’abord à quatre pattes puis sur ses deux pieds dès qu’il en eut l’occasion. Cette curiosité maladive et ce goût du risque fit que ses parents ne se posèrent pas de questions quand certaines choses étranges se passèrent autour de lui. Comment avait-il pu retourner dans son lit alors que les barreaux étaient élevés ? Pourquoi dès qu’il faisait un cauchemar et commençait à pleurer le mobile au-dessus de son lit se mettait-il en marche tout seul, presque comme par magie ? Et enfin comment pouvait-il avoir en main des objets placés bien trop hauts pour lui alors que quelques minutes plus tôt, il tendait la main vers ces derniers sans succès. Autant de questions auxquelles ils répondaient par de simples concepts connus des moldus : La chance, son astuce, ou le fait qu’il soit « casse-cou ». Et c’est dans cette ambiance qu’il s’épanouissait, entre joyeuses étrangetés et enrichissement intellectuel en écoutant ses parents et sa famille.

Que ce soit lors de sa maternelle ou de ses années en école primaire, tout se passa sans encombre. Le jeune Oliver se faisait des amis et était apprécié des professeurs. Intelligent, malin et curieux, ses yeux semblaient toujours briller de mille feux lorsqu’il se retrouvait face à quelque chose qu’il ne connaissait pas, voulant toujours en savoir plus. Alors oui, comme depuis sa plus tendre enfance, il y avait toujours des bizarreries autour de lui qui laissaient un peu dubitatif les autres élèves et les professeurs qui, comme toute personne ne comprenant pas ce qu’ils voyaient, cherchaient des explications rationnelles qui semblaient pourtant bien tirées par les cheveux pour certaines. Et pourtant, la réponse à toutes ces étrangetés arriva bien vite. En effet, un grand homme avec une drôle d’allure  vint frapper à la porte des Anderson. La discussion fut longue et intrigante. Il faut dire qu’elle remettait en question les fondements même du monde dans lequel vivaient innocemment les Anderson. Et pourtant tout ce qu’il disait, la magie, les événements étranges qui se passaient autour de leur enfant, la description qu’il leur faisait du monde magique semblaient si… Vraisemblable, si logique maintenant. Cela répondait à toutes les interrogations qu’ils se posaient depuis maintenant plus de dix ans sur leur petit qui s’émerveillait déjà à l’idée de lancer des sorts et d’apprendre pleins de choses sur une facette du monde qu’il ne connaissait pas tout en en faisant déjà partie malgré lui.

Ses affaires achetées au chemin de traverse, il put enfin passer pour la première fois sur la voie 9 ¾. Il avait passé les derniers jours à lire, se documentant comme il pouvait sur Poudlard, les maisons et les sorts qu’ils devraient apprendre, toute sorte de chose qui le passionnait, le dévorait. Aussi, sur le quai du Poudlard Express, le garçon rencontra-t-il une petite fille aux cheveux d’or qui sembla le snobber lorsqu’il lui demanda quelques informations. Autant dire qu’il se demanda quelle mouche l’avait piquée et haussa les épaules avant de se dire qu’il ne pouvait clairement pas plaire à tout le monde.

Une fois à Poudlard, lorsque le choixpeau fut sur sa tête, il s’écria avec force le nom de la maison Serdaigle. Le petit cœur d’Oliver fit un bond de joie tandis qu’un grand sourire s’affichait sur son visage. C’était la maison qu’il voulait, celle des curieux, de ceux qui voulaient tout savoir. Il n’avait pas vraiment envie d’être catalogué de rusé ambitieux et le courage sans intelligence pouvait très vite devenir de la stupidité… Il y avait bien poufsouffle aussi, mais il fallait dire que l’emblème lui semblait bien moins sympathique qu’un aigle d’argent… Et puis être « gentil » était peut-être aussi une trop grande preuve de naïveté, non ? Son regard se tourna alors vers sa « camarade » qui sembla soupirer en voyant sa joie d’aller à Serdaigle tandis qu’elle-même semblait contente d’être à Serpentard. Au moins il n’aurait pas à supporter son air supérieur dans la salle commune, se disait-il.

Et pourtant… Combien de fois elle essaya de lui chercher des ennuis ? Combien de fois elle voulut qu’il fasse ses devoirs à sa place ? Il avait arrêté de compter au cours des années à Poudlard, et alors qu’il pensait qu’elle finirait par l’ignorer, c’est lui qui jouait à ce jeu pour simplement la faire tourner en bourrique. Il était connu dans Poudlard pour toujours se retrouver dans les ennuis. Non pas malgré lui mais bien parce qu’il les cherchait, même lorsque cela ne le concernait pas, et il en était de même pour ceux de la blonde nommée Paige qu’il prenait un malin plaisir à ennuyer dans ses plans plus saugrenus les uns que les autres. Elle et sa manie de vouloir diriger tout le monde en ne pensant jamais au retour de flamme que cela risquait d’engendrer pour elle. Elle qui faisait la forte et la fière alors qu’elle se vexait au moindre signe d’ignorance de sa part. Au bout d’un moment, le jeune homme ne savait plus si cela était un jeu, s’ils se détestaient vraiment ou si c’était tout simplement un peu des deux ? C’était confus, mais c’était devenu habituel.

Lors de Halloween en 1977, il fut pris à partie par les mangemorts, étant lui-même né moldu. Plutôt doué en sortilèges, il s’en sortit sans trop de séquelles physiques mais il ne pensa pas à rester là sans rien faire, à subir ce monde qui changeait peu à peu. Alors il commença à prendre parti, se rangeant du côté de ceux qui pensaient que mages et moldus devaient vivre main dans la main, sans secret, qu’il était peut-être temps que le monde grandisse pour étouffer le feu que semblaient vouloir lancer les mangemorts. Il a pourtant eu vent des agissements répréhensibles de Grindelwald, mais peut-être pourraient-ils, sur la base de ses pensées, avancer de façon plus saine pour un monde meilleur.

Que dire... Je n'aurais jamais pensé un meilleur Oliver. Et le fait d'avoir pris en compte un certain event va faire plaisir à notre petite @Fanny MacDougall. J'ai adoré lire ta fiche, j'aime beaucoup ta façon d'écrire. J'ai hâte de pouvoir rp avec toi. Félicitations ! Tu as été reçu pour te joindre à nous dans cette magnifique aventure. Avant tout, nous te demandons de bien penser à vérifier qu'on a recensé ton avatar dans le bottin des avatars pris. Nous allons très vite d'attribuer ta couleur et ton rang, mais tu peux dès à présent aller ouvrir ta fiche de liens, pour te faire plein d'amis ! Tu peux aussi ouvrir ton répertoire des Rps, pour classer tes aventures. Si tu as envie de romance, ou que tu es en manque d'affection, on peut aussi te proposer de poster dans meetic version sorcier. Tu peux parfaitement écrire des scénarios, si tu as des envies de liens très précis ! On t'invite aussi fortement à venir nous rejoindre sur le flood, sur la Chatbox ou sur le Discord du forum ! On espère que tu te plairas parmi nous. À très vite sur Time Turner !