Bonjour à tous ! Je m'appelle Hermione  Jane Granger. Mon anniversaire, c'est le 19 septembre 1979, j'ai 18 ans, et je fais ma septième rentrée à Poudlard cette année ! Je viens d'une famille de moldus et je le vis très bien ! D'ailleurs moi, côté coeur, je suis plutôt heterosexuelle et en ce moment, je suis célibataire. C'est un petit secret, ça reste entre nous, d'accord, mais j'ai vraiment très peur de L'échec. Oh ! J'ai failli oublier ! Mon patronus, c'est un magnifique loutre. Vous pensez me reconnaitre ? C'est normal, je ressemble beaucoup à Emma Watson. Je crois que je vous tout dit. A bientôt !

Je ne suis pas née avec une cuillère dorée dans la bouche, ça, c'est sûr. Ma famille a su toujours faire preuve de courage et d'efforts pour sortir la tête du trou, quand tout allait au plus bas. C'est ce que les Granger m'ont enseigné que j'essaie de reproduire chaque jour. C'est par un jour de Septembre plutôt encore estival que j'ai poussé mon premier cri. Mon enfance de moldue, je ne vais vous la décrire que très brièvement, parce que j'imagine que ça n'intéresse pas grand monde ici. Comme je l'ai déjà dis précédement, je ne m'y sentais pas à ma place. J'essayais de compenser à travers les études, mais ça ne donnait rien de bien fameux. Considérée comme la chouchou des profs et miss parfaite, j'étais trop méprisée des autres pour me faire des amis. Un peu comme lors de ma première année, dans cette prestigieuse école de magie. Pourtant, dans le monde sorcier, c'était différent.

Tous issus de ce milieu pour la plupart, je pensais qu'ils en savaient beaucoup plus que tout ce qu'avaient pu m'apprendre les livres. Je pensais qu'ils avaient 10 ans d'expérience de plus que moi. Que s'ils baillaient en cours, c'est parce qu'ils savaient déjà tout ça. Alors je pensais rattraper mon retard du mieux que je le pouvais. Mais non, je me trompais. Et bientôt, c'est cette étiquette d'arrogante miss-je-sais-tout qui me collait à la peau. Ca partait pourtant d'un bon sentiment. Qu'on ne s'étonnait donc pas si je me braquais au moindre mot qu'on m'adressait! Le pire, c'était les Serpents. Le seul point positif, c'était qu'il y avait Harry dans ma promotion. LE Harry Potter! J'avais tout lu sur lui. Seulement, comme tous les autres, l'autre garçon roux ne semblait pas m'apprécier. Il a fallu qu'une mésaventure avec un Troll dans les toilettes se dresse sur notre route chemin pour que nous formions le trio qu'on est aujourd'hui. Il y avait bien des querelles avec Ron, mais c'était moindre en comparaison de l'année que l'on m'avait faite passer.

Je garde un souvenir plutôt mitigé de ma deuxième année, vu qu'à cause du Basilic, j'en ai passé la moitié paralysée à l'infirmerie. Heureusement que malgré tout, les garçons ont fini par découvrir à leur tour ce que j'avais trouvé sur cette créature. Pourtant il y avait là aussi un point positif, malgré tout ! Gilderoy Lockart comme professeur de Défenses contre les Forces du Mal. Même si les cours qu'il donnait ne touchait pas réellement à la matière, il avait un beau sourire et de charmants yeux bleus, c'était déjà ça. Cette matière ne figure pas parmi mes préférés. Du moment que je n'étais pas obligée de constater que c'était la matière où je brillais le moins, remplir un questionnaire de pages entières consacrées à Lockart ne me dérangeait pas le moins du monde. Mais si la première année a marqué le premier tournant dans ma vie (en 'revoyant l'ordre de mes priorités') la deuxième année elle, a scellé, du moins de mon point de vue, une réelle amitié envers Harry et Ron. J'avais enfin trouvé des gens qui arrivaient à me supporter, qui voyaient outre cette image de petite fille modèle et d'exemple à suivre en cours que je m'étais forgée. C'est aussi à partir de cet été là que je fus acceptée parmi les Weasley.

La troisième année a été..Riche en surprise! Sirius, qui finalement ne voulait pas tuer Harry mais qui était son parrain. Remus Lupin, nouveau professeur du poste maudit (prof de DCFM) qui était un loup-garou, chose que Rogue nuançait sans aucune retenue et semble t-il avec beaucoup de plaisir, lorsqu'il le remplaçait à la tâche. Oh, et Croutard! Croutard qui finalement n'a jamais été un "rat", sinon Peter Pettigrow...L'un des partisans de Voldemort (fidèle ? sa fidélité laissait à désirer...). Je crois que depuis cela, Ron ne peut pas regarder de nouveau un rat sans loucher. Et lui qui accusait Pattenrond de l'avoir tué, alors qu'il ne savait encore rien de la vérité...Lui! MON Pattenrond! Cette adorable petite boule de poil orange. J'aurai préféré être sourde plutôt que d'entendre des anneries pareilles. Si ce chat est encore au centre de certaines de nos querelles, ça n'a pas changé pour autant. Ce qu'il peut être tête de mule, quand il s'y met...

La quatrième année aussi, n'a pas été de tout repos. De toute manière, est-ce qu'on pourrait avoir une scolarité un tant soit peu normale à Poudlard ? Non. Poudlard accueillait le tournoi des Trois Sorciers, et Harry était encore pris dans une spirale infernale qui l'imposait comme quatrième champion de cette compétition. Mais ce Tournoi a amené aussi à rencontrer de nouvelles personnes...Et j'ai été agréablement surprise par une certaine, du nom de Victor Krum. Moi qui ne le prenait que pour une brute assoifée de victoire la première fois que je l'ai vu lors du championnat de Quidditch, je me suis rapidement faite à l'idée qu'un homme tel que lui pouvait être un gentleman. Et il n'a pas manqué de me le prouver, notamment lors du Bal de Noël.

Je pense que c'est à partir de cette année, que quelque chose s'est déclenché en moi. Je veux dire, que je voulais faire des efforts au niveau de mon apparence. Ca m'a prouvé que malgré tout ce qu'on pouvait dire sur mon compte, j'étais tout aussi capable qu'une autre de séduire quelqu'un. Il avait du charme, oui..Quelqu'un voyait cette relation d'un très mauvais oeil. Ron. Jaloux ? Peut être bien. Il s'était enfin rendu compte que j'étais une fille, et que je pouvais attirer, moi aussi...Depuis cet épisode, je me pose des questions sur Ron, enfin plutôt sur notre relation. Pourquoi est-ce qu'il était si possessif, pour me protéger, ou..? De plus, depuis ce que m'avait raconté Harry sur l'état de Ron lorsque j'étais paralysée en deuxième année, de nouveaux sentiments s'étaient fait remarquer. Des sentiments que je ne connaissais pas, et qui me faisaient peur.

J'ai bien essayé de les faire taire avec Victor, mais contre toute attente, ça n'a évidemment pas marché. Si on met de côté l'amour et que l'on passe à l'aventure, la quatrième année symbolise aussi celle où je me suis inquiétée le plus pour Harry. Déjà que mon inquiétude pour lui est constante, là, elle avait atteinte son paroxysme. Mais il fallait me comprendre, on avait pas idée de faire passer des épreuves pareilles à des sorciers de première cycle! C'était de la folie furieuse! Et puis Voldemort. Ce retour de Voldemort qui me terrifiat et qui me terrifie encore...

A défaut d'avoir pris les initiatives sur mon physique, la cinquième année m'en a aussi fait prendre sur mon moral. C'est ainsi que j'ai eu l'idée de fonder l'AD, l'Armée de Dumbledore. On ne pouvait pas rester les bras croisés alors que le danger menaçait à tout moment d'exploser! La preuve, des Détraqueurs à Little Winning...Cette année a aussi marqué la découverte de l'agence secrète de Dumbledore, l'Ordre du Phénix. On y a retrouvé Lupin, ainsi que le VRAI Maugrey, cette fois-ci. J'ai conscience que le Duel au département des Mystères n'était rien en comparaison de ce qui nous attend.

Je crois que la sixième année, est de loin mon plus mauvais souvenir de ma scolarité à Poudlard. Seulement de ma scolarité, parce que de bien tristes évènements nous attendaient encore, sans le savoir, l'année suivante. Déjà, la nomination de Severus Rogue au poste de professeur de défense contre les Forces du Mal dès la rentrée annonçait déjà la couleur pour la suite. Le Père Malefoy en prison, la pression sur le fils et son attitude qui changeait de toutes celles des autres années, ne présagaient rien de bon non plus. Depuis cette descente au Département des Mystères, le Mal attendait impatiemment de prendre sa revanche. Il ne laisserait pas cette année s'écouler librement. Alors que la Guerre grondait presque aux portes de notre cher Poudlard, un nouveau Professeur particulier en soin a fait son apparition en tant que Professeur de Potions; c'est plus tard, et grâce à Harry, que Ron et moi découvrirons qu'il avait un rôle primordial avec la naissance des Horcruxes auprès de Tom Jedusor. C'est aussi l'année a décidé de frapper à la porte du château. Même si Harry me faisait de la peine par rapport à Dean et Ginny, je dois avouer que je n'avais pas vu non plus le coup venir entre Ron et Lavande...Et les voir se bécoter à tous les coins de couloir n'arrangaient rien à mon agacement et à mon malaise. Moi qui me disais qu'après toutes ces années quelque chose était vraiment en train de se mettre en place, et puis tout à coup...Mais finalement, un empoisonnement "râté" nous a fait nous réapprocher. C'est quand même toujours extrême, nos réconciliations. Une paralysie, un empoisonnement...Enfin, c'est surtout qu'on ne pouvait pas laisser Harry se prende la tête, à voguer entre nous deux pour des histoires d'amour adolescente alors que quelque chose de beaucoup plus de dangereux, comme une épée de Damoclès, lui pesait sur la tête. Et entre le livre de potions du Prince de Sang Mêlée et la mort de Dumbledore, nous avions choisi la bonne issue: il avait besoin de nous, et ce plus que jamais.

Pour notre septième année, pas de Poudlard donc, mais une quête aux Horcruxes, et un départ plutôt brutal, puisque tous trois n'avons pu assister au tiers du mariage de Bill et Fleur que la traque avait déjà commencée. Cette période a été une succession d'étapes les plus difficiles à surmonter à mes yeux. La pression, le danger, constant, les précautions à prendre, l'absence de nouvelles des proches, livrés à nous-même, la pression d'Harry, les contes qui me semblaient indéchiffrables, le départ de Ron, la torture de Bellatrix, la mort de Dobby, de Fred...Lupin, Tonks, et tellement d'autres encore. Ils ne méritaient pas tout cela. Au final, l'amour a été la seule note optimiste, mais elle n'a pas duré bien longtemps, face aux corps à enterrer et au monde à reconstruire.

Avec mes amis on a remonté le temps et nous voilà dans le passé dans le temps des maraudeurs, Mama et père potter. On va commencer notre septiéme année. J'ai proposé à Harry qu'il soit mon frère ainsi on le nommera Harry Granger.  Je ne sais pas si cela va marcher le plan exposé de la fille de Voldemort mais j'espère en tout cas car j'aimerais tellement un monde de paix et d'amour ou tout le monde vit en paix. Bien sure une chose que je ne dit pas a mes ami mais je crois que je développe des sentiments envers Draco Malfoy qui se fait surnommer dans le passé Draco Field.